Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura/4361
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(Sur les caractères d’écriture), in-8°, Rotterdam, 1820, adhère à l’opinion que les anciens alphabets ne contenaient que des consonnes (Bulletin de Férussac, loc. cit. alla p. 4312, t. VI, 1826, art. 152, p. 183). Questo però per ragioni e spiegazioni diverse da quelle da me addotte altrove (31 agosto 1828).
* Alla p. 4340. Il a paru cette année (1824) à Leipzig un livre qui doit attirer l’attention des amateurs de la littérature slavonne. C’est un recueil de chansons serviennes en 3 vol. publié par Vouk Stéphanovitch, littérateur servien très-connu et auteur d’une grammaire et d’un lexique servien. Voici le compte qu’en a rendu le journal des savans de Goettingue (1823, nos 177 et 178). «Ces chants serviens n’ont point été empruntés aux vieilles chroniques; ils ont été recueillis de la bouche même du peuple. Comme ils ne furent jamais écrits, jamais non plus ils n’ont ni vieilli ni ne sauraient vieillir». Ib., t. V, janv. 1826, art. 24, p. 26 (31 agosto 1828). Vedi p. 4372.
* Vouk Stéphanovitch et quelques autres littérateurs serviens modernes ont cru bien faire d’introduire de nouvelles lettres ainsi qu’une orthographe étrangère tout-à-fait barbare chez les Slaves. Pourquoi ne pas s’en tenir à l’ancien alphabet cyrillien? (vedi il pensiero precedente a quelli a cui si riferisce). Ib., extrait du Fils de la patrie (giorn. russo), n° 26, p. 241, 1824 (31 agosto 1828).
* Commentatio historico-critica de Rhapsodis, in-4° de 22 pag., Vienne, 1824. Cet opuscule contient, en premier lieu, l’ètymologie du mot ῥαψῳδὸς. ὰπὸ τοῦ ῥάπτειν τὴν ᾠδὴν, ou ὰπὸ τοῦ ἐπὶ ῥάβδῳ ἄδειν. L’Auteur