Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura/4341
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* On attribue l’invention de l’alphabet mongol à Bogdo-Khotokhtou-Tchoidja-Bandida, appelé du Thibet en Mongolie par le Khan Khoubilaï-Tsétsèn-Khan, petit-fils de Gengiskhan; et sa correction au lama Tchoïdja-Ostyr, qui vivait du temps de Khaïssyn-Kouloug-Khan, mort au commencement du XIV siècle, et sous le règne duquel cet alphabet fut introduit parmi les peuples mongols. Selon les écrivains mongols on n’employa jusqu’au temps de Khaïssyn-Kouloug-Khan, à la cour des souverains de ce pays, que les lettres thibétaines, alors appelées Oïgoures (étrangères). Les Chinois prétendent dans l’histoire que, jusques à l’introduction d’un alphabet particulier, les Mongols s’étaient servis des caractères chinois ou ouvouitsk.
(Cosí moltissimi libri giapponesi sono scritti in caratteri cinesi, e questi sono anco della letteratura giapponese, i piú noti, anzi quasi i soli noti agli europei. Bulletin ec., t. IV, art. 197. Al qual proposito il Bulletin di Férussac, ib., p. 175, osserva: L’emploi d’une écriture syllabique (la scrittura propria giapponese, composta di 47 sillabe primitive) dérivée de l’écriture figurative des Chinois, et l’usage qu’on fait de cette dernière en l’appliquant à une langue pour laquelle elle n’avait pas été formée (alla lingua giapponese), sont deux phénomènes capables d’intéresser les hommes qui font de l’ètude des langues, un sujet de méditations philosophiques).
Les Mongols écrivent de gauche à droite comme nous, mais perpendiculairement du haut en bas, comme on pourra le voir par l’alphabet comparé Mongol et Kalmouk. Malgré les traits qui changent