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chansons qui n’ont pas de rapport à Sigurd, et un vieil air noté de ces îles. Il resterait maintenant à publier les autres chansons des Foeroeer, et peut-être aussi le vocabulaire foeroeérien faisant partie d’une description de cet archipel, composée vers 1782 par M. Svaloe, et conservée en sept vol. in-4° parmi les manuscrits de la bibliothèque royale de Copenhague. Ib., art. 21, p. 16-17 (12-13 agosto 1828). Vedi p. 4352, 4361.


*   Vertheidigung des Wilhelm Tell. Defense de Guillaume Tell, par X. Zuraggen; nouv. édit. in-8°, Fluelen, dans le canton d’Uri; 1824. La vérité de l’histoire de Guillaume Tell ayant souvent été mise en doute, et notamment dans une brochure qui a paru en 1760, intitulée Guillaume Tell, conte danois; l’auteur cherche à venger la mémoire du héros, et à démontrer son existence par des documents authéntiques (Journ. gén. de la littérat. étrang., septembre 1824, p. 264). Bull. de Férussac, mai 1825, l. c., t. III, art. 526, p. 422-3 (13 agosto) Vedi p. 4362.  (4341)


*   On attribue l’invention de l’alphabet mongol à Bogdo-Khotokhtou-Tchoidja-Bandida, appelé du Thibet en Mongolie par le Khan Khoubilaï-Tsétsèn-Khan, petit-fils de Gengiskhan; et sa correction au lama Tchoïdja-Ostyr, qui vivait du temps de Khaïssyn-Kouloug-Khan, mort au commencement du XIV siècle, et sous le règne duquel cet alphabet fut introduit parmi les peuples mongols. Selon les écrivains mongols on n’employa jusqu’au temps de Khaïssyn-Kouloug-Khan, à la cour des souverains de ce pays, que les lettres thibétaines, alors appelées Oïgoures (étrangères). Les Chinois prétendent dans l’histoire que, jusques à l’introduction d’un alphabet particulier, les Mongols s’étaient servis des caractères chinois ou ouvouitsk.

(Cosí moltissimi libri giapponesi sono scritti in caratteri cinesi, e questi sono anco della letteratura