Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura/2669

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[p. 365 modifica] interdirsi ogni azione, conoscere il danno ch’essa medesima reca, e insomma non far nulla, al quale effetto gli uomini non avevano bisogno d’economia politica, ma s’ella non fosse stata, ciò si sarebbe necessariamente ottenuto allo stesso modo, e meglio. Ora tale appunto si è la perfezione della filosofia e della ragione e della riflessione ec. come ho detto altrove (2-3 febbraio 1823).


*   Sopra quello che ho detto altrove che l’uso de’sacrifizii nacque dall’egoismo del timore. Toutes les fois que le courroux des dieux se déclare par la famine, par une épidémie ou d’autres fléaux on tâche de le détourner sur un homme et sur une femme du peuple, entretenus par l’état pour être, au besoin, des victimes expiatoires, chacun au nom de son sexe. On les promène dans les rues au son des instrumens; et après leur avoir donné quelques coups de verges, on les fait sortir de la ville (d’Athènes). Autrefois on les [p. 366 modifica]condamnoit aux flammes et on jetoit leurs cendres au vent. (Aristoph., in Equit, v. 1133. Schol. ibid. Id. in Ran., v. 745. Schol. ib. Hellad. ap. Phot. p. 1590. Meurs, graec. fer. in Thargel.) Voyage du jeune