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366 | pensieri | (2669-2670-2671) |
condamnoit aux flammes et on jetoit leurs cendres au vent. (Aristoph., in Equit, v. 1133. Schol. ibid. Id. in Ran., v. 745. Schol. ib. Hellad. ap. Phot. p. 1590. Meurs, graec. fer. in Thargel.) Voyage du jeune (2670) Anacharsis en Grèce, t. II, ch. 21, 2e édit., Paris, 1789, p. 395. Vedete anche nello stesso capitolo la terza pagina avanti a questa, circa i sacrifizi di vittime umane, i quali si facevano principalmente ne’maggiori pericoli e timori, come dice altrove il medesimo autore (7 febbraio 1823). Vedi p. 2673.
* Sopra la riunione del sacerdozio e dello stato civile nelle medesime persone, presso gli antichi, del che ho detto altrove; e come le funzioni del sacerdozio non impedissero in modo alcuno gli antichi preti di servire alla patria. Chaque particulier peut offrir des sacrifices sur un autel placé a la porte de sa maison, ou dans une chapelle domestique (Hesych. in ὕδραν. Lomey. de lustr, p. 120). Même ouvrage, même chap., p. 397 (vedi anche Aristoph. in Plut., v.1155 et Schol. ibid.). Cette espèce de sacerdoce ne devant exercer ses fonctions que dans une seule famille, il a fallu établir des ministres pour le culte public. Ibid. Tous (les prêtres de la Grèce) pourroient se borner aux fonctions de leur ministère, et passer leurs jours dans une douce oisivité (Isocr., de permut., t. II, (2671) p. 410). Cependant plusieurs d’entre eux empressés a mériter par leur zèle les égards dus à leur caractère, ont rempli les charges onéreuses de la république, et l’ont servie soit dans les armées, soit dans les ambassades (Herodot., l. IX, c.85. Plut., in Aristid., p. 321, Xenoph., hist. graec., p. 590. Demosth., in Neaer., p. 880). Ibid. p. 403. Vedi il II dell’Eneide intorno a Panto sacerdote, e l’Iliade intorno ad Eleno ec.
(7 febbraio 1823).