Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura/4411

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*   Il y a chez tous les peuples, comme le remarque un érudit célèbre (Wolff (sic), Prolegom., p. 69), un fait qui constate l’èpoque à laquelle l’usage de l’écriture devient général; c’est la composition d’ouvrages en prose. Aussi longtemps qu’il n’en existe point, c’est une preuve que l’écriture est encore peu usitée. Dans le dénûment de matériaux pour écrire, les vers sont plus faciles à retenir que la prose, et ils sont aussi plus faciles à graver. La prose naît immédiatement de la possibilité que les hommes se procurent de se confier, pour la durée de leurs compositions, à un autre instrument que leur mémoire. Ib., l. VIII, ch. 3, p. 441-2 (15 ottobre 1828).


*    Dans la Grammaire comparée des langues de l’Europe latine avec celle des troubadours, page 302, j’ai prouvé que le présent de l’infinitif, précédé de la négation, tenoit parfois lieu de l’impératif; que cette forme se retrouvoit dans l’ancien français ainsi que dans l’italien: mais il faut nécessairement que le verbe soit précédé de la négation, comme le verbe l’est ici, Ne t’accompagner mie À home de malvese vie. — Raynouard. — Journal des Savans, 1825, p. 184, mars (15 ottobre 1828).


*    Sopra l’uso di ὰκμὴν (greco moderno ὰκόμη) per ἔτι, è da vedersi M. Letronne nel Nouvel Examen critique et historique de l’Inscription grecque du roi nubien, Silco, articolo 1, alla linea 12, dell’Iscriz. nel Journal des Savans, 1825, p. 108, février (15 ottobre 1828).