Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura/4376
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1827, t. VIII, art. 2, p. 3 (11 settembre 1828).
* Alphabet phonométrique; découverte de huit lettres nouvelles; par Virard. In 8°, Grenoble, 1827. M. Virard s’occupe, depuis plus de 20 ans, de tout ce qui se rapporte à la grammaire. Par une heureuse combinaison dégageant la langue de toutes les lettres qui tiennent dans les mots une place oisive, arbitraire, et tout-à-fait inutile à la prononciation, il a atteint plus qu’aucun autre le moyen d’ècrire comme on parle. Les lettres et leur assemblage, dont il fait usage, ne répresentent que le son de la voix, et par les exemples qu’il donne, il ajoute à la démonstration de sa méthode qu’il ne croit point encore perfectionnée, appellant, sur ce sujet, les méditations des grammairiens les plus érudits. Lorsque la prononciation sera notée d’une manière sûre et invariable, ce sera le moyen d’en conserver la pureté, de détruire le mauvais accent des provinces, de faire entendre à l’ètranger le véritable son du mot et de transmettre en tout temps, d’âge en âge, un accent pur, inaltérable, et de perpétuer l’harmonie du discours, quand la langue sera devenue morte. A. Métral, ib., févr. 1828, t. IX, p. 131-2, art. 109. Le otto nuove lettere saranno per i suoni francesi che non corrispondono veramente a nessun de’ segni dell’alfabeto latino. Credo che lo scopo di M. Virard non sia d’introdurre nell’uso una nuova ortografia,