Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura/4373
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non di se stesso (10 settembre 1828). Quando colla imitazione egli esce veramente da se medesimo, quella propriamente non è piú poesia, facoltà divina; quella è un’arte umana; è prosa, malgrado il verso e il linguaggio. Come prosa misurata, e come arte umana, può stare; ed io non intendo di condannarla (10 settembre 1828).
* L’auteur (M. Faber, Syngloss, oder Grundsaetze der Sprachforschung. Synglose, ou Principes des recherches sur les langues, par Junius Faber, 213 pagine in-12°. Carlsruhe, 1826) a été amené par tous ces rapprochemens à conclure qu’il n’y a qu’une seule langue, et que ce que l’on nomme ordinairement langues, ne sont que les dialectes de cet idiome unique, dans lequel la forme, et non pas le fond ou l’essence des mots s’est modifiée; enfin, que cette essence des mots est contenue dans les racines qui ont existé dès le commencement, et dont on peut prouver l’origine par des raisonnemens physiologiques. Depping, Bulletin etc., l. cit. alla p. 4312, mars, 1827, t. VII, art. 231, p. 202.
- M. Kärcher ne doute pas que les langues connues ne proviennent toutes d’une langue primitive; il se propose etc., encouragé par le suffrage de M. Goulianof, qui se propose, dit-il, de démontrer la certitude de cette dérivation universelle des idiomes d’un seul qui fut la souche de tous. Il se pourrait que des critiques d’une autorité au moins égale à celle de M. Goulianof, fussent d’un avis tout opposé. Quoi qu’il en soit, et M. Kärcher est bien le maître