<dc:title> Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura </dc:title><dc:creator opt:role="aut">Giacomo Leopardi</dc:creator><dc:date>XIX secolo</dc:date><dc:subject></dc:subject><dc:rights>CC BY-SA 3.0</dc:rights><dc:rights>GFDL</dc:rights><dc:relation>Indice:Zibaldone di pensieri I.djvu</dc:relation><dc:identifier>//it.wikisource.org/w/index.php?title=Pensieri_di_varia_filosofia_e_di_bella_letteratura/4371&oldid=-</dc:identifier><dc:revisiondatestamp>20200110161256</dc:revisiondatestamp>//it.wikisource.org/w/index.php?title=Pensieri_di_varia_filosofia_e_di_bella_letteratura/4371&oldid=-20200110161256
Pensieri di varia filosofia e di bella letteratura - Pagina 4371 Giacomo LeopardiZibaldone di pensieri I.djvu
[p. 312modifica] poëte, oú il est question de Cydippe. Cette fable, si nous en croyons le savant professeur, est identique avec l’histoire de Ctesylla (sic) et d’Hermochares, rapportée par Antoninus Liberalis et Nicander (Bulletin etc., juillet 1827, tom. VIII, art. 34, p. 35). - E quante altre favole o racconti, appartenenti a tempi mitici o eroici, si trovano ripetuti con diversi nomi e luoghi in diversi scrittori, non solo greci e latini, ma anche greci solamente! - Codro, Eretteo ec. I Deci ec. - Le combat de trente Bretons contre trente Anglais, publié d’après les manuscrits de la Bibliothèque du roi par M. Crapelet, imprimeur; Paris, 1827. Long-temps l’authenticité de ce combat fut contestée, et on n’avait pu produire jusqu’ici qu’un seul ms. de 1470, conservé dans la [p. 313modifica]bibliothèque de Rennes. L’heureuse découverte du récit en vers du Combat des Trente, faite dans un recueil de pièces mss. de la Bibliothéque du Roi, par le chev. de Fréminville, donna lieu, en 1819, à une première publication d’un nouveau document; mais il était important que le texte fût reproduit avec la plus scrupuleuse exactitude. M. Crapelet a complété tout ce que laissait désirer à cet égard la 1re édition. Il a fait suivre cette publication d’une traduction littérale du poëme et d’une autre relation du combat, extraite des chroniques de Froissart. L’ouvrage est orné d’une planche représentant le monument élevé en mémoire de ce combat, et les armoiries des 30 chevaliers bretons, dessinées d’après les armoriaux de la Bibliothéque du Roi, et d’autres armoriaux particuliers et inédits (Ib., t. VIII, p. 389-90, art. 407, octob. 1827). Vedi nel Guicciardini