Pagina:Opere matematiche (Cremona) I.djvu/243: differenze tra le versioni

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Pour deuxième application, proposons nous de construire une cubique gauche qui s’appuie sur cinq droites données A<sub>1</sub>, A<sub>2</sub>, A<sub>3</sub>, A<sub>4</sub>, A<sub>5</sub>{{nota separata|Pagina:Opere matematiche (Cremona) I.djvu/494|30}}. Elle sera évidemment l’intersection des hyperboloïdes déterminés par les deux ternes de droites: A<sub>1</sub>A<sub>2</sub>A<sub>3</sub>, A<sub>3</sub>A<sub>4</sub>A<sub>5</sub> qui ont une droite commune A<sub>3</sub>. Cette construction est aussi une conséquence du théorème connu: on peut construire cinq faisceaux homographiques de plans, dont les axes soient cinq droites données, et où cinq plans homologues passent toujours par un même point.
Pour deuxième application, proposons nous de construire une cubique gauche qui s’appuie sur cinq droites données A<sub>1</sub>, A<sub>2</sub>, A<sub>3</sub>, A<sub>4</sub>, A<sub>5</sub>{{nota separata|Pagina:Opere matematiche (Cremona) I.djvu/494|30|Pagina:Opere matematiche (Cremona) I.djvu/495|30}}. Elle sera évidemment l’intersection des hyperboloïdes déterminés par les deux ternes de droites: A<sub>1</sub>A<sub>2</sub>A<sub>3</sub>, A<sub>3</sub>A<sub>4</sub>A<sub>5</sub> qui ont une droite commune A<sub>3</sub>. Cette construction est aussi une conséquence du théorème connu: on peut construire cinq faisceaux homographiques de plans, dont les axes soient cinq droites données, et où cinq plans homologues passent toujours par un même point.


On donne quatre faisceaux homographiques de plans, dont les axes soient les droites A<sub>1</sub>, A<sub>2</sub>, A<sub>3</sub>, A<sub>4</sub>. On demande combien de fois quatre plans homologues se coupent dans un même point<ref>{{Sc|{{AutoreCitato|Jakob Steiner|Steiner}}}}, Systematische Entwickelung der Abhängigkeit etc. p. 298.</ref>? Les faisceaux projectifs A<sub>1</sub> et A<sub>2</sub>; A<sub>1</sub> et A<sub>3</sub>; A<sub>1</sub> et A<sub>4</sub> donnent trois hyperboloïdes qui ont une génératrice commune A<sub>1</sub>. Ces hyperboloïdes, abstraction faite de cette génératrice, s’entrecoupent en quatre points seulement<ref>{{Sc|{{AutoreCitato|Michel Chasles|Chasles}}}}, Journal de M. {{Sc|Liouville}}, l. c.</ref> et il est bien évident que par chacun de ces points passent quatre plans homologues des faisceaux données.
On donne quatre faisceaux homographiques de plans, dont les axes soient les droites A<sub>1</sub>, A<sub>2</sub>, A<sub>3</sub>, A<sub>4</sub>. On demande combien de fois quatre plans homologues se coupent dans un même point<ref>{{Sc|{{AutoreCitato|Jakob Steiner|Steiner}}}}, Systematische Entwickelung der Abhängigkeit etc. p. 298.</ref>? Les faisceaux projectifs A<sub>1</sub> et A<sub>2</sub>; A<sub>1</sub> et A<sub>3</sub>; A<sub>1</sub> et A<sub>4</sub> donnent trois hyperboloïdes qui ont une génératrice commune A<sub>1</sub>. Ces hyperboloïdes, abstraction faite de cette génératrice, s’entrecoupent en quatre points seulement<ref>{{Sc|{{AutoreCitato|Michel Chasles|Chasles}}}}, Journal de M. {{Sc|Liouville}}, l. c.</ref> et il est bien évident que par chacun de ces points passent quatre plans homologues des faisceaux données.