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l’Occident. Espérons que Paris continuera longtemps encore à guider la civilisation occidentale:
l’Occident. Espérons que Paris continuera longtemps encore à guider la civilisation occidentale:


Comment ne partagerions-nous pas ces vœux du généreux auteur de «Paris, dernier modèle de l’Oecident?».
Comment ne partagerions-nous pas ces vœux du généreux auteur de «Paris, dernier modèle de l’Oecident?».
{{Sc|{{A destra|Pierre Guéguen.}}}}
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{{A destra|Pierre Guéguen.}}}}


{{Sc|Franc Nohain}} — ''Echo de Paris, 21 Juillet 1932.''
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Leo Ferrero a commencé par construire à la base de son livre tout un système historique...
Leo Ferrero a commencé par construire à la base de son livre tout un système historique...


...Cependant au delà des méditations ou avant elles, notre jeune étranger ne manquait pas de se livrer à des considérations moins profondes, peutêtre, mais plus directes, ou s’affirmaient avec gentillesse et avec esprit sa clairvoyance singulière et sou exquise malice. Comme j’aime tant de fines remarques sur les rapports des parisiens entre eux, de ceux que Leo Ferrero considère comme l’élite...
...Cependant au delà des méditations ou avant elles, notre jeune étranger ne manquait pas de se livrer à des considérations moins profondes, peut-être, mais plus directes, ou s’affirmaient avec gentillesse et avec esprit sa clairvoyance singulière et sou exquise malice. Comme j’aime tant de fines remarques sur les rapports des parisiens entre eux, de ceux que Leo Ferrero considère comme l’élite...


Mais l’hommage sans doute le plus émouvant que M. Leo Ferrerò ait rendu à Paris et à la France est d’avoir écrit son livre directement en français; et d’un style nerveux, alerte coloré, un style qui a une forme et un relief personnels que bien d’écrivains français lui pourraient envier.
Mais l’hommage sans doute le plus émouvant que M. Leo Ferrero ait rendu à Paris et à la France est d’avoir écrit son livre directement en français; et d’un style nerveux, alerte coloré, un style qui a une forme et un relief personnels que bien d’écrivains français lui pourraient envier.


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{{Sc|André Maurois}} — ''New York Times, 31 Juillet 1933.''
{{Sc|André Maurois}} — ''New York Times, 31 Juillet 1933.''


This book is a study, by a very intelligent stranger, of the structure of Parisian society and its ''rôle'' in the Europe of today. For Leo Ferrerò the essential character of Paris is that is one of the rare cities in which there remains a souvereigne élite which passes judgement, from which there is not appeal, on the things of the spirit — a function that in former times belonged to the court...
This book is a study, by a very intelligent stranger, of the structure of Parisian society and its ''rôle'' in the Europe of today. For Leo Ferrero the essential character of Paris is that is one of the rare cities in which there remains a souvereigne élite which passes judgement, from which there is not appeal, on the things of the spirit — a function that in former times belonged to the court...
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