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comer. Esto que he dicho, posò en el valle de Nove; y en él de Guaca, que es él que dije quedar atras, oi decir á este licendado Vadillo algunas vezes, corno supo por dicho de algunos Indios viejos, por las lenguas que traiamos, que cuando los naturales dél iban á la guerra, á los Indios que prendian en ella, hacian sus esclavos; á los quales casaban con sus parientas y vecinas; y los hijos que habian en ellas aquellos esclavos, los comian: y que despues que los mismos esclavos eran muy viejos, y sin potencia para engendrar, los comian tambien á ellos. Y á la verdad, como estos Indios no tenian fé, ni conoscian al demonio, que tales pecados les hacia hacer, cuan malo y perverso era; no me espanto dello: porque hacer esto, mas lo tenian ellos por valentia, que por pecado». Parte primera de la Chronica del Péru hecha por Pedro de Cieza, cap. 12, ed. de Anvers 1554, lioja 30 y siguiente.

Pag. 56, l. 23: l’hanno distrutta...

«Le nombre des indigènes indépendans qui habitent les deux Amériques decroit annuellement. On en compte encore environ 500,000 au nord et à l’ouest des États-Unis, et 400,000 au sud des républiques de Rio de la Piata et du Chili. C’est moins aux guerres qu’ils ont à soutenir contre les gouvernemens américains qu’à leur funeste passion pour les liqueurs fortes et aux combats d’extermination qu’ils se livrent entr’eux, que l’on doit attribuer leur decroissement rapide. Ils portent à un tel point ces deux excès, que l’on peut prédire, avec certitude, qu’avant un siècle ils auront complètement disparu de cette partie du globe. L’ouvrage de M. Schoolcraft (intitolato, Travels in the central portions of the Mississipi valley, pubblicato a New-York, l’anno 1825) est plein de détails curieux sur ces propriétaires primitifs du Nouveau-Monde; il devra être d’autant plus recherché, que c’est, pour ainsi dire, l’histoire de la dernière période d’existence d’un peuple qui va s’éteindre». Revue Encyclopédique, tom. 28, novembre 1825, p. 444.

Pag. 60, l. 23: ha raccomandato il suo cane...

Questo fatto è vero.

Pag. 61, l. 1: Eureca, eureca...

Famose voci di Archimede, quando egli ebbe trovato la via di conoscere il furto fatto dall’artefice nel fabbricare la corona votiva del re Gerone.