Digamma, dont sans doute la prononciation était tombée en désuétude quand on copia pour la première fois l’Iliade et l’Odyssée. Du Digamma dans les Poésies homériques (Extrait d’un Nouveau Commentaire sur Homère); par M. Dugas-Montbel. Bulletin de Férussac, loc. cit. janv. 1825, art. 7, p. 9. - Le fait est que, malgré l’adoption du Digamma, on ne résout pas toutes les difficultés, et que M. Knight lui-même (Payne Knight, il quale nel 1820 pubblicò in Inghilterra un’edizione intera (4335) dell’Iliade e dell’Odissea col digamma, et avec une orthographe particulière qu’il suppose avoir été dans le principe celle d’Homère; dopo che Upton e Salter avevano dato degli specimen di edizioni d’Omero col digamma, e che Heyne già nel suo Omero del 1802, au bas de son texte, oú il suit l’orthographe ordinaire, aveva placé les mots avec le Digamma, in cui favore egli si è dichiarato) a laissé subsister des passages qui blessent son système (cioè, come si spiega in una nota, de’ passi dove una sillaba che dovrebb’esser breve, diventa lunga pel digamma; κρῆγῠŏν Fεῑπᾱς ec.), tant il est difficile de rétablir la véritable orthographe sur de simples conjectures, et dans la privation absolue de tout monument écrit. Certainement quelque système qu’on adopte, il n’en est point qui ne présente des objections, parce que dans ces premiers âges de la poésie, oú les lois de la prononciation n’ètaient point encore soumises au frein de l’écriture qui les rend plus invariables, il devait y avoir une foule d’anomalies qu’on ne pouvait expliquer que par l’usage, plus fort que le raisonnement, et même que les règles de l’analogie; parce qu’enfin sous Pisistrate, quand on transcrivit pour la première fois les vers d’Homère, la prononciation avait déjà subi des altérations notables qu’il est impossible de déterminer précisément aujourd’hui. Ibidem, p. 13. - Ora con una pronunzia varia, incerta, e non ancora fissata, come supporre, come trovar possibile una misura di versi