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(676-677-678) | pensieri | 127 |
* Enfin elles aiment l’amour, et non pas l’amant. Ces personnes se livrent à toutes les passions les plus ardentes. Vous les voyez occupées du jeu, de la table; tout ce qui porte la livrée du plaisir est bien reçu. Parla di quelle donne galanti qui ne cherchent et ne veulent que les plaisirs de l’amour, di quelle che ne cherchent dans l’amour que les plaisirs des sens (o della galanteria, dell’ambizione ec.), que celui d’être fortement occupées et entraînées, et que celui d’être aimées; di quelle che (677) possono associer d’autres passions à l’amour, e lasciare du vide dans (leur) son coeur, e che après avoir tout donné possono non essere uniquement (occupées) occupé de ce qu’on aime; di quelle che se font une habitude de galanterie, et ne savent point joindre la qualitè d’amie a celle d’amant; di quelle che ne cherchent que les plaisirs et non pas l’union des coeurs, e conseguentemente échappent à tous les devoirs de l’amitié: in somma delle donne d’oggidí tutte quante: e in fatti ancor ella sebbene distingue le donne amanti in tre specie, conchiude il discorso di questa specie, cosí: Voilà l’amour d’usage et d’à-présent, et où les conduit une vie frivole e dissipée. M.me de Lambert, Réflexions nouvelles sur les femmes, dans ses Oeuvres complètes, citées ci-dessus (p. 633) p. 179 (18 febbraio 1821). (678)
* Il faut convenir que les femmes sont plus délicates que les hommes en fait d’attachement. Il n’appartient qu’à elles de faire sentir par un seul mot, par un seul regard, tout un sentiment. M.me de Lambert, lieu cité ci-dessus, p. 187.
* Gli esercizi della persona che egli faceva in compagnia di cotali gentili uomini, non solamente per allora li furon cagione della fermezza e gagliardía del corpo, ma eziandio dell’animo. ― Lo dice di Antonio Giacomini Tebalducci Malespini, famoso mili-