all’Etruria, segnatamente per la interna decorazione delle tombe. C’est un fait qui a été constate à diverses époques, dice il ch. Raoul-Rochette in un’opera eruditissima testè pubblicata, depuis la renaissance des lettres jusqu’à nos jours, que des tombeaux étrusques avaient en leurs murs revêtus de lames de bronze (Lanzi, Saggio, T. II, p. 211). Un de ces tombeaux fut découvert au XVI siècle, à Chiusi; et la relation originale s’en conserve à la galerie de Florence. Une découverte semblable ent lieu vers la fin du siècle dernier dans un endroit du territoire de Corneto; et c’est sur la foi du docte antiquaire Orioli qu’elle est rapportée par M. le professeur Vermiglioli (Opuscoli, T. IV, n. 7). C’est aussi dans la Nécropole de Tarquinies que se trouvait le tombeau décoré à la voûte de disques de bronze avec des têtes en relief (Annal. dell’Inst. archeol. T. I, p. 150, 151): monument du même goût, qui se rapporte à la même pratique de revêtement en lames métalliques ou en bois peint; qui fut le système général de l’antiquité asiatique, et qui n’avait pas été étranger à l’antiquité grecque, à en juger par le Calcioekos de Sparte (Pau-