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LETTORI XXXV

nopi egiziani con sovrappostevi per coperchio teste umane, che dal Micali saggiamente credensi ritratti di antichissimi Etruschi, non fia inutile consultare il Meyer nelle note al Winckelmann (Werke, III, 11, S. 430, anm. 740), l’Inghirami (Monum. Etr. Ser. VI, tav. G 5, e Mus. Chius. tav. XLIX, p. 50), il Dorow (Voyage en Etrurie, pl. V, fig. 1 a e b; pl. VI, fig. 1 a, e 2 a), e specialmente l’udire lo stesso Raoul-Rochette che trovò un vaso canopico raffigurato sur una greca stoviglia presso il conte Pourtalès-Gorgier (Mon. inédits, p. 372), e riflette che aucun des antiquaires qui nous ont fait connaitre ces curieux monumens de la haute civilisation étrusque récemment sortis des hypogées de Chiusi, et qui ont cherché à expliquer d’une manière plus on moins plausible, et par des rapprochemens plus ou moins heureux, le motif réel et le vrai caractère de la tête humaine qui forme le covercle de ces urnes cinéraires, ne s’est servi d’un monument de même genre, mais d’un autre âge, qui appartient évidemment au même ordre d’idées, et qui me parait propre à décider la question. C’est une urne de terre cuite qui fut trouvée, en 1705, dans