che mettessero capo in quelle; il che tanto più pareva credibile, quanto che in tutte le Vipere sotto il fondo di quelle guaine io aveva trovato sempre due glandule, le quali da veruno, ch’io sapessi, non erano state osservate, o descritte. Sovra di che gli Autori delle novelle esperienze affermano, che tali glandule da me nominate eglino non l’anno mai potute vedere; ma che in lor vece ne anno trovate due altre, le quali appellano salivali, e scrivono di esse in così fatti sensi a carte 29. I’ay cru d’abord, a l’imitation de Monsieur Redi, qu’il y pouvoit avoir en la Vipere des vaisseaux salivaires, comme on en a trouve depuis quelque temps en l’homme, et en plusieurs animaux: de sorte qu’ apres plusieurs recherches, faites avec affez d’attachement, et de patience, dans plusieurs testes de Viperes; I’ay enfin descouvert des glandes, propres a former, et a envoyer ce suc aux gencives: Et apres en estre bien persuadè, je les ay montrees a quelques-uns de ces savans Medecins, qui s’estoient assemblez chez moy l’annee derniere. Ces Messieurs ont voulu s’en esclaircir eux-mesmes, et apres avoir bien examinè les parties que je leur montrois, ils les ont non seulement trouvees veritables, mais ils, y ont encore veu de petits vaisseaux en plus grand nombre qu’ils ne m’avoient paru, dont les uns, qui sont des arteres, et des veines passent au dessus des glandes, et les autres, qui sont des vaisseaux limphatiques coulent au dessous. De sorte qu ils ont jugè, que je pouvois hardiment poser pour certaines, et descrire ces glandes, que je nomme salivaires, et qu’ils ont reconnues avec moy;