Pagina:Paolina Leopardi Lettere.djvu/179


155


altrimenti non era in tempo, ed egli lo fece, ma ma non ti può cadere in mente che sia stato per mancanza di amicizia od anche di delicatezza; tu sei sempre la mia diletta, e non ne devi dubitare neanche un istante, no, se mi vuoi anche una piccola parte del bene che ti voglio io.

«M.lle Malibran qui pouvait devenir le charme des auditeurs les plus difficiles, avait fini par se rendre le supplice de ses amis les plus dévoués. Combien de fois n’-a-t-elle pas fait changer le spettacle! De combien de relâches n’a-t-elle pas été coupable au moment le plus inattendu! Quittez donc vos familles, ajournez vos affaires, négligez vos amis, hâtez votre diner, pressez votre toilette, crevez vos chevaux dans l’espoir d’arriver a tems pour le di piacer mi balza il cor ou le se il padre m’abbandona; puis vous trouvez sur l’afficher il matrimonio avec M.lle Tadolini, ou l’ultimo giorno di Pacini, ou la bande, la bande encore moins fatale du relâche par indisposition de la prima donna que vous aviez recontré le matin caracolant au vis sur un cheval fingant, ou que vous apperceviez le même soir dans quelque lige des Varietés ou de la Porte S. Martin. Il n’y a théâtre ni admiration qui poisse tenir à de pareilles incartades. M.lle Malibran ruinerat tout à la fois enthousiasme et administration. Moins de génie dans l’éxécution et plus de bonne fois dans les engagemens. Un bonheur troublé est un agrément insupportable».

Mi sembrò tanto caro questo lamento allorchè il lessi, che giurai di fartelo sentire, ed era quando le tue orecchie e l’animo tuo dovevano essere: