le chiederà mai con quali mezzi e che tutti gli sembreranno sopportabili purché non sia scacciato dal di lei cuore. Ed eccoci all’ultima lettera di Aïssé: «Je suis bien heureuse en tout; tout ce qui est autour de moi me sert avec affection; la pauvre Sophie a des soms demon corps et de moli àme étonnans; elle m’a donné de si bons exemples qu’elle m’a presque forcée à devenir plus sage; elle ne m’a point prèchée, son exemple et son silence ont eu plus d’éloquence que tons les sermons du monde. Je ne vous parie point du chevalier; il est au désespoir de me voir aussi mal jamais on n’a vu une passion aussi violente, plus de délicatesse, plus de sentiments, plus de noblesse et de générosité. Je ne suis point inquiète de la pauvre petite... elle a un ami et un protecteur qui l’aime tendrement. Adieu, madame, je n’ai plus la force d’écrire. La vie que j’ai menée est bien miserable. Pourquoi serais-je effrayée de la separation de mon àme puis que je suis persuadée que Dieu est tout bon et que le moment où je jouirai du bonheur sera celui où je quitterai ce misérable corps?»