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heureuse dans l’autre vie.» In seguito ad una crisi che si credeva l’ultima trova ancor la forza di scrivere: «La pauvre Sophie a souffert tout ce qu’il est possible de souffrir; elle craignait de m’alarmer elle voulait avoir l’air assure, elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour ne pas pleurer. Vous savez comme elle est pieuse; elle était inquiète pour non âme.»

Questo pensiero di una confessione generale continua a preoccuparla. La signora Ferriol è sua sorella Tencin ne approfittano per fare propaganda di partiti; la circondano, la assordano colle loro agghiaccianti discussioni sui molinisti e sui giansenisti. Aïssé non ne vuol sapere di aride chiesuole; ella invoca solamente un ministro di Dio. Finalmente si decide: «A l’égard de mon àme j’espère que dimanche prochain elle sera délivrée de toutes ses iinpuretés. Vous serez étonnée quand je vous dirais que mes confidentes et les instruments de ma conversion sont mon amant et me* sdames de Parabère et du Deffant et que celle dont je me cache le plus c’est celle que je devrais regarder comme ma mère (madame Ferriol). Vous