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| giudizii finora pronunciati | 499 |
corrette parecchie osservazioni e interpretazioni fallaci dei suoi predecessori, e d’avere d’altra parte riconosciuto e additato nel monumento uno dei più splendidi e originali prodotti di quel periodo dell’arte romana, a cui sono indissolubilmente congiunti i nomi di Traiano e del suo consigliere e ministro, l’architetto Apollodoro di Damasco. Noi non abbiamo qui nè il modo nè l’aggio di sottoporre ad una critica coscienziosa e minuta tutta l’interpretazione storica e artistica del monumento, che il Meomartini ci ha fornita; possiamo però affermare con piena sicurezza, che essa è in parecchi punti assai felice e ci fa affrettare col desiderio il compimento dell’opera intera.
Dal chiaro Archeologo Francese Monsignor X. Barbier de Montault, nella Revue de l’Art Chrétien, 1891.
Bénévent n’est pas sur le chemin des touristes qui parcourent l’Italie, aussi cette ville resté telle à peu près inconnue des archeologue. Quatremère de Quincy a décrit son arc de triomphe, mais, sans l’avoir vu. Mon sejour à Bénévent, en 1875, a été à la fois des plus agréables et des plus fructueux comme ont pu en juger les lecteurs de la Revue de l’Art chrétien, qui a imprimé trois articles, intitulés: Le palais archiépiscopal de Bénévent (1875), Le trésor de la cathédrale de Bénévent (1879), et Le portes de Bronze de Bénévent (1883). Mes notes ne sont pas épuisées: j’aurais, entr’atres, à décrire la cathédrale, avec ses ambons et sa mosaique, unique en son genre, puis à faire connaïtre les travaux multiples des artistes dont j’ai relevè les signatures. Je ne sais si j’achèverai cette tâche, devenue inutile depuis l’apparition de l’ouvrage de l’architecte Meomartini, qui est mieux a même que moi d’être bien renseigné et de ne rien omettre d’essentiel.
Je lui souhaite donc la bienvenue avec empressement, car je suis tout disposé a profiter amplement d’une lecture, qui promet d’être aussi instructive que variée. La pubblication parait par livraisons mensuelles: huit ont déjà été distribuées. Elles se réfèrent aux deux arcs de triomphe, celui de Trajan et celui dit du Sacramento, qui lui est un peu postérieur, mais qui a perdu
