Questa pagina è ancora da trascrivere o è incompleta. |
,AR t. ROLANDO ’sS
Dcpuis long-leniS j’avais rcmarque que clans la moellc alongc’e <les quailruj)ciles la substance ccnilrce se trouve en Ires-petile fjuantite (i). Aussi les tuberculcs cendres sent rarement visibles dans Irs animauv, quoique clans le cerveau dcs moulons et des cochons i’en aie vii des (races assez clistinctcs extericurement Mais inlcjrleureinent la substance cendree a cet endroit est loujours un peu plus epaisse, sur tout dans Ic bociif, puis elle s’amincit tout dc suite; et en eflet Ics feuilles ccndrc’es situdes entre les pyramides posterieures sont aussi dans lous les animaux beaucoup plus pelites, cjiie dans rhouinie.
Des pedoncules itiferieurs du ccrvelet.
lluisch (2) Vieussens, Vesal, Villis, Santorini (3), Haller (4) out pai’le dislincteinent des pedoncules inferieiu’S du cervelet. ProcUaska (5) en a donne vine bonne figure; mais Malacarne (G) parait etre celui, qui les a mieux decrits.
Commc ils sont continus aux cordons posterieurs de la moelle epiiiiere, on pent les prendre aii-dessous des tubercules de la substance cendree, et les suivre en haul. A cet endroit ils sont a pcu-pres pi’ismaticjues de maniere, que leur face posterieure lui peu convexe forme la partie posteriem-e de la moelle epiniere. Par leur face interne se ti’ouvent en contact avec les pyramides poslcirieures, et par I’externe avec les tubercides cendrtis. A mesure que ces gros cordons s’elevent, ils s’elargissent, et apres avoir sui’passe le somraet des dits tubercules se touvnent sur la lace anterieui’e et se trouvent en contact des cordons anterieurs
(i) L. c. pag. 95. f.». HI.
(a) Epist. problem, lab. 16. f. 6. »
(3) Observat. anaL cap. 111. §. XXI.
(4) Elcm. Physiol, t. 4. pag. -C.
(5) Df slructur. ncrvor. lab. if. 3.
(63 EuccfiUotou. unircrt. liuoTa eepoiiuoBt dcUt struttur^ dd ccilcQi-’ltO’ F’J- 8<