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simple nppnrctice qui a toujouis lieu lorsqu on Separc dcS (ibrcii clroitemcnl unies, ct paralleles, sans eire en aucune maniere cioisees. Je vols dans le tome xxi. des Annales de Medecine du Docleur Omodci, cpie ie Profosseur Tiedeinaim a vu bien dislinclemcnt <laiis le cervcau du foetus de 4 " ^ semaines lentrecroiscmeiil des pyrainides. Mais il ajoutc cjue les aulres parlies de la moelle epiiiiere n’y etaient point interessecs. Je dois avertir, fpic comme cest a Tendroit de rcnlrecioisemonl quest fixee I’origine des pelits faisceau\, la tresse qn’on y decouvre n’est qu’apparenle, et cen\-ci ne passent pas I’un sur I’aulre dans riiomme, et beaueoup moins dans les quadrupedes. Cest c’galement en examinant soil les pyramides, soit les cordons anterieurs de la moelle epinierc qu’on pent s’assurer tjue ces parlies ne sont pas continues, comme I’assure ^I. Ticdemann: la chose est egalement visible dans riiomme: mais j’avoue de ne I’avoir pas examine dans le foetus.
Lorstpron flit allenlion a la figure V. de la table V. des oeuvres analomiques de Duverney, on voit facilemcnt, que rcntrecroiscment qu’y est represcnte differe cntieremcnt de celui, cpie plusieus anatomistes ont admis an commencement des pyramides, el quit est designc avec tant do precision par le peintre habile des planches dc I’Analomie et Physiologic du systeme ncrveux. En eflet dans la figure de Duverney les deux faisceaux se croisent visJilement et passent d’un cote a I’antre, ce cpi’on n’obscrvc pas dans la dlle fig»n-e dc Gal! et Spurzheim. Cest ponrquoi j’ai tout lieu de croirc tpic Duvcniey a vu un autre entrelacement, qui bien souvent a lieu tres-pres de cet endroit, et a peu-pres a la meme hijuteur enlre les filamens des cordons anterieurs de la moelle epiniere, cc (pie je ferai connaitre evidemment lorsqu il sera question de ces dernicrs.
Plusieurs Anatomistes et Medecins celebres croyant, a laidc de lentrelacement suppose des pyramides, donner une explication plus fondcc de quelques aU’ections palhologiques se laisscreut, pour
