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i6a suR L’ApriNiTE des corps etc.

quelle noiis nous sommes an-clcs n’a pas cet inconvenient; elle tlonne pour le fliiorium unc alVinitc pour le calorifjiio «pii est encore posilive, niais faihle, cl pcul-clic iiilciieuie a la vcrilable.

La pioximile entrc I’azole el le soufie cl’un cole, el enlre le carbone et le pliospliore dc Taulrc, que nous avons tleji\ remarquee poui- Icurs pouvoirs neulralisiins, csl de meine evidentc dans lours nombres ailiiiilalics.

J’ai deja fait observer, que d’nprcs la valeur moj enne des pouvoirs neutralisans alcalins des radicaux des alcalis fives, ce pouvoir moycn ne scrait qu’environ la 5/ parlie du pouvoir alcalln de riiydrogene; on voit dans lo tableau, relalivcment auv afliniles pour le calorique qui en resultent, que celle des radicaux. alcalins serail environ Ic tiers dc celle de Thydrogcne, cnsorle qu’aucunc substance connue, d’aprcs nos calculs, n’approclie, uieine de fort loin, de cette derniere substance par rapport a celte qnalite. En eflet, en adinctlaut memc comme exact le pouvoir ncutralisant que nous avons trouve inimcdialcment pour Ic lidiinni, qui est le plus considciable de ccux que nous avons trouves pour ccs radicaux, ce pouvoir ne serait encore qu’ environ 4, en prenant pom- unite celtii dc I’oxigenc, c’est-a-dire les. de celui de I’hydrogene, ct donnerait environ 6 pour le noinbre afliuitair’ de cettc substance, ou son affinite pour le calorique, c’esl-a-dii-e la moilie de cclic qui apparlient a Ihydrogcue.