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PAR LE GHEV. AVOGADRO lag
0,-^342. 0,7430-4-0,3658. j:=o, d’oi\ x-= — 2,0023. ISIais lacide liydro-sulfurique etant compose dc 0,9419 soufre et o,o58i hydiogcne, il cii resuUe, pour determiner le pouvoir neulralisant du soufre, I’equalion
0,9419. Jr-Ho,o58 1. 10,0222:= — 2,o523, d’ou xz=. — 2, 797 1. IMaintonaiit si nous supposous neiilre un sel qui coniienne le double d’acide hjdro-sullurique, relaliveniciit a la polassc, que celui dont nous venons de parlor, il est clair, sans qu’il soit n^cessalre de calculer ))ar la composition en poids de ce nouveau sel, cpi’il faudra ne supposer a I’aride liydrosulfurique que la moilie de Tacidile precedcnle, savoir — 1,0261, et on aura ainsi, poui’ determiner le pouvoir neulralisant du soufre, I’equalion
0,9^19. j?-|-o,o58i. 10,0232= — 1,0261, d’ou j?= — i,’yO’-6. La moycnne cntre ce residtat, et le precedent est — 2,2523. Ainsi les cinq resultats obtenus par les dillereus sels employes, pour le pouvoir neulralisant du soufre, sont — 0,6871; — r,i845; -t-o,i534; — 1,6820; — 2,3523. Quelqucs uns de ccs rcsuUals sont evidemment inadmissibles en eux niemes; raais la moyenne doit s’approcher d’avantage du vrai, par la compensation des erreurs. Cette moyemie eutre les cinq resullats est — i,i3o5, resultat encore inadmissible, puisqu’il nous prescnterait le soufre comme done d’un pouvoir neulralisant acide plus considerable cpie celui de I’oxigene. Mais en pregnant la moycnne enlre ce resultat, et celui — 0,3576 que nous avions adople provisoirement par les sels a base d’ammoniaque, on a — 0,744"^ pom- le pouvoir neutralisant acide du soufre, d’apres tous les calcuk precedens; resultat d’apres lequel ce pouvoir serait un pen moindre que celui de I’azote, et considerablemcnt plus grand cpie celui du carbone, ce qui n’a rien de contraire a ce que nous connaissons en general sur la maniere de se conxporter de cette substance dans ses combinaisons.
Ton. xux R
