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PAR I.E CnEV. ATOGADRO 125
commune Acs resultats qu’ils donnent k la valeur 0,8773 dont nous veiions de parler, et cu egard u ce que nous nc nous sommes servi (jue d"un seal sel par rapport a chacun deux, peuvcut former ensemble un seul sysleme, dont le resultat moyen, pour ralcalinite de la polasse, est o/JgHg. En prenant la moyenne cntre les 4 ri’-sidtals de ces syslcmes ou trouve 0,61 13, iiombre (ju’on pent considci’er en consequence commc le resultat moyen donne par la reunion de tous les sels dont le pouroir neutralisant de I’acide est fonde sur les determinations provisoires de la premiere section.
20. Mais la valeur 0,8773 que nous avons elablie plus liaut pour ralcalinili,- do la potasse, par les sels dont racidite a cle determiuee par les chaleurs speciliques, et les pouvoirs relringens de corps gazeux, parait devoir etre regardee, quoique fondt’e sur nn moindre nombrc tie sels, commc d’une importance aussi grande (jue celle-l;i, les valeurs primitives des pouvoirs neutralisans, sur les quelles le calcul en est fonde, etant prises ici pour ■definitivemeut fisees. II ne nous reste done plus qu’a prendre la moyenne entre ces dcu\ valeurs o,6ii3 et 0,8773, et on a ainsi 0,7: fp pour Talcalinite qu’on pent attribuer a la potasse dapres tout les calculs precedens.
En I’admetlant on aura, pour determiner le pouvoir neutralisant du potassium, I’equalion
o,83o5. X — 0,1695=0,7443, d’oli Ton tire. ^.^-^-!,IOo3, pour le pouvoir neutralisant du potassium, savoir un pouvoir alcalin tant soit pen plus fort. que Ic pouvoir acide — i de I’oxigcne, et qui n’est qu’environ la neuvienie partie du pouvoir alcalin de I’liyilrogene. Quant a Talcalinite de la potasse elle ne serait pas, d’apres cette determination, toula-fait les trois quarts de celle de rannnoniaque.
21. Avant de passer maintcnant a examiner, comment on pent etendre aux autres bases alcalines, ct a leiu-s radicaux les reclierches que nous venons de faire pour la potasse, et le potassium, et a fixer nos idces sur le degre d’exactilude, qu’on peut attribuer
