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PAn I.. ROI,ANDO ’ 5l

r. s. Les racliies de la 5. paire evisleiit, qnoique daus cellc ngiou on ne trouve plus de trace dcs corps olivaircs; cest Iresvrai, qirou ne peut les retroiivcr jilus iiili’i-ieureiJieiit.

p- p- Les pyraraides posterieures coininenccnt a etre j)liis aplalies.

I). Sulistance ceiidrt’e cpii rej ond a la fin du bee de la phimc i ecrire, et sc conlinue avec celle (pii descend de la nioelle cjiiniere.

Figure 6.

Coupe ti’ansversale de la fpieue de la moclle alonge’e fake a la hauteur des tubercules cendres. Les meincs lellres indiquent les memes objets. Les cordons antero-lateraux ( c. «. ) sent replies a leur herd interieur, el formeat le siUon median anttiieur.

/. c. Tubercules cendres continues avec la siJjstauce cendrce centrale de la nioelle epinicre. II est necessaire de faire la coniparaison de cetle coupe avec plusieurs autres pour voir certaines dilFerences, qui cependant ne sont pas essentielles.

p. p. Pyramidcs poslerieiues plus aplaties.

Figure ’j.

Coupe transversale de la queue de la moelle alongee faite h I’origine des pyramides anteiieurcs. p. Ces pyramides ou faisceaux pyraniidaux comme on peut voir, ne preinicut |)oiiit naissancc de la sui)stance cencb-ee, mais se trouveiit en contact avec les cordons antero-lateraux. Cejieadant quebpic fois on observe que les faisceaux pyramidaux se trouvent eu rapport avec la substance cendree centrale de la moelle epiniere, et ccla arrive lorsqiic les bords inlernes des cordons antt^ro-latcraux nc sont point rcpUes, et en contact coinmc on peut voir dans la figure 2.