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76 | introduz. alla scienza sociale | [§ 50] |
ostante le parole tanto chiare del Bulot, che ha persino esplicitamente nominato il fatto del Principe, c’è chi crede che la repubblica è esente da tale menda, che è propria della monarchia.
Altri «intellettuali» credono, in buona fede, che solo i cattolici insidiano la «libertà di pensiero»; onde, per conseguire quella libertà, approvano senza restrizione alcuna le persecuzioni contro ai cattolici, e sono ammiratori del Combes. E neppure quando questi esprime in modo chiarissimo che mira ad istituire una nuova ed unica fede, in-
dere come i magistrati furono tanto indulgenti per gli Humbert, tanto rigorosi per le vittime di quei celebri scrocconi.
Funck-Brentano, L’affaire du collier, Paris 1901, p. 325: «Et tel était le pouvoir absolu de la monarchie de l’ancien régime... L’honneur de la reine est en jeu, la couronne peut être atteinte. Le roi confie le soin du jugement à un tribunal dont aucun juge n’est à sa nomination; à des magistrats sur lesquels il ne peut rien et ne pourra jamais rien à aucun moment de leur carrière, d’aucune façon; à des magistrats qui, par esprit et par tradition, lui sont hostiles. Ainsi que le montre Bugnot, le procureur du roi lui-même n’est pas, au Parlement, librement choisi par le roi. Mais bien plus, voici même le controleur général, assisté du bibliothécaire du roi... qui combat directement, dans une circonstance aussi grave, les intérêts du roi et de son autoirité. Nul ne s’en étonne. Est-il aujourd’hui un gouvernement, qui ait le cœur de voir fleurir sous ses yeux pareilles libertés?».
Il governo che tali libertà concedeva, era governo di una classe in decadenza, e cadde; il governo che oggi le toglie è governo di un’aristocrazia che sorge, e prospera. E la borghesia, stupidamente vile, lo aiuta coi propri denari.