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NOTA.


(1) Plusìeurs d’entre eux (parla di una delle nazioni erranti dell’Asia) passent la nuit assis sur une pierre à regarder la lune, et à improviser des paroles assez tristes sur des airs qui ne le sont pas moins. Il barone di Meyendorff, Vojage d’Orenbourg a Boukhara, fait en 1820; appresso il Giornale dei dotti, 1826, septembre, p. 518.