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Firenze vecchia

Imprimerie De Dubié, rue Saint Ferréol, e merita di essere roportata nella sua integrità:

S' exquivant de Russie, Aussi rapidement Que le vent ; Sa Majestè transie Arri ve incognito, En traineau. Gai, gai, mes amis, chantons le rinom Du grand Napolèon C'est le heros (bis) des petitès maison Courant à perdre Haleine Il croit prendre à Moscou, Le Pèrou O le grand capitaine! Il n'y voit, ventrebleu, Que du feu. Gai, gai, mes amis, etc. Il laisse son armeè Sans pain, sans Gènèral, C'est ègal; Elle est accountumèe A vivre de cheval, Puor regal. Gai, gai, mes amis, etc. Son armeè est en route Mais bientôt l'aquilon Furibond Soufle et met en dèroute

Chevaux, soldats, caissons Et canons. Gai, gai, mes amis, etc. A bon droit on s'étonne Ou'alors il n'ait pas fait Un décret Pour prolonger l'automne Et reculer verglas Et frimats. Gai, gai, mes amis, etc. Dans cet ètat funèste Brave comme un èsare De hazard; Sans demander son reste Napolèpn le grand F...t le camp. Gai, gai, mes amis, etc. Campagne edmirable, Les destins sont remplis, Accomplis, Son armeè est ai diable. Que nìen est-il autant Du brigand Gai, gai, mes amis, chantons le renom Du grand Napolèon C'est le heros (bis) des petites maisons

le renom Du grand Napoléon C'est le héros {bis), des petites maisons. Courant à perdre haleine, Il croit prendre à Moscou, Le Pérou O le grand capitaine ! Il n'y voit, ventrebleu, Que du feu. Gai, gai, mes amis, etc. Il laisse son armée Sans pain, sans General, C'est égal ; Elle est accoutumée A vivre de cheval, Pour regal. Gai, gai, mes amis, etc. Son armée est en route, Mais bientòl l'aquilon Furibond Soufle et met en déroute

Gai, gai, mes amis, etc. Dans cet état funèste Brave comme un Cesar De hazard; Sans demander son reste Napoléon le grand F t le camp. Gai, gai, mes amis, etc. O campagne admirable, Les destins sont remplis, Accomplis, Son armée est au diable. Que n'en est-il autant Du brigand. Gai, gai, mes amis, chantons le renom Du grand Xapoléon C'est le héros {bis), des petites maisons.

Il 31 gennaio 1814, guidate dal maresciallo di campo Minutolo, entrarono in Firenze le truppe napoletane. Non ci manca van che quelle!

La mattina dopo, anche la signora Baciocchi, non più Granduchessa, ebbe a fare come quelli che erano stati a Palazzo