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448 CAPITOLO XXII. nemico mio personale, si prenderebbe la pena di dis- suadere qualunque libraio da tale impresa. > ' Non so che cosa il De Sinner rispondesse; ma dalla successiva lettera del Leopardi, del 2 marzo 1837, risulta che quegli chiese al poeta una breve notizia della edizione, da presentare al libraio. Il poeta la mandò; ed era questa: < Je ferai à mes OPERETTE MORALI les additions que je promets dans la Notice qui les précède dans l'édi- tion de Naples. Elles consistent en trois Opuscules d'une étendue assez considérable. On peut voir leurs titres dans la Notice que j'ai citée.' > J'ajouterai aussi à mes poésies des morceaux inédits. > En Italie j'aurai donne quelque traduction^ inè- dite : par exemple, une traduction du Manuel d'P^pic- tète, une traduction de quatre Discours moraux d'Iso- crate, etc, tout cela n'est bon à rien en France. > Je veux publier un volume inédit de Pensées sur les caractères des hommcs, et sur leur conduite dans la société; mais je ne veux pas m'obliger de le donner au méme libraire qui publicra le reste, si auparavant je n'ai pas vu du nioins le premier volume imprimé, afin de pouvoir jugcr de l'cxécution. > Au reste je ne tiens en aucune manière à ce que l'édition soit faite sous le titre general d'tEuvres. On peut, et memo on dovniit publier un volume sous le titre indépendant do CANTI, et dcux autrcs sous colui d'Ol-EKETTE MORALI. Jo forai dos améliora- tioriH nombreuKcs ìi tous ccs trois volumes. > Inviando questa notizia per l'editore francese, il Leopardi aggiungeva: < Io manderei i due primi vo- ' KpMolario, voi. Ili, pag. «9.
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lUl MoNticn, a png. 'W>. I trn opiiN'jnli hoiio il h'ninimi'ulo apo- crifo (ti Miratone da jMtnpHaro, il Cop^rnlro i> il Dialogo <li l'Io- tino (t di l'orflrio.