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144 | Chi l’ha detto? | [483-485] |
traduzione francese della Storia di cento anni di Cesare Cantù, fatta da Amedeo Renée, Parigi, 1852, vol. I, pag. 419): «L’ignorance ou la mauvaise foi s’acharnent à mettre dans ma bouche le mot de Finis Poloniæ! que j’aurais prononcé dans cette fatale journée. D’abord, avant l’issue de la bataille, j’ai été presque mortellement blessé, et je n’ai recouvré les sens que deux jours après, et lorsque je me suis trouvé entre les mains de mes ennemis. Puis, si un pareil mot est inconséquent et criminel dans la bouche de tout Polonais, il le serait beaucoup plus dans la mienne. La nation polonaise, en m’appelant à défendre l’intégrité, l’indépendance, la dignité, la gloire et la liberté de la patrie, savait bien que je n’étais pas le dernier Polonais, et qu’avec ma mort, ou autrement, la Pologne ne pouvait pas et ne devait pas finir.» Il sentimento di Kosciuszko come degli altri polacchi, era ancora quello espresso dal verso
483. Noch ist Polen nicht verloren.1
Ricordiamo anche le parole, storiche queste,
484. Voilà le soleil d’Austerlitz!2
Tra i molti detti ai quali die’ origine la grande epopea del nostro risorgimento scelgo i seguenti: altri sono ricordati in sede più opportuna.
485. Il morbo infuria,
Il pan ci manca.
Sul ponte sventola
Bandiera bianca.