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que toutes les autres parties de l’Europe: et si l’èrudition de celles qui florissaient dans le moyen âge ne prouve pas une grande originalité d’esprit, elle est du moins une preuve des soins que les citoyens des Républiques Italiennes avaient pris pour leur education. Il est notoire, que Petrarque et Boccace, l’un fils d’un légìste, et l’autre d’un marchand, ètaient éléves comme les enfans des plus grands seigneurs le sont maintenant en Angleterre; et les filles des simples particuliers ont attiré par leurs talents et leur connaissance l’attention des hommes tels que Politien. Mais Bologne est de toutes les Républiques Italiennes, celle qui a conservé le plus long-temps des femmes savantes (T. II. pag. 163. 164).
IV. ... Un grand-pére et une grande-mère, soriani à peine de leur aulomne, deux jeunes demoiselles charmantes et bien élévées comme des Anglaises du méme âge et du méme rang: etc. (T.. IV. pagg. 210).
V. Mais la Casa Triulzi . . . . . . . en un mot une des plus douces scènes d’education et d’armonie intérieure qu’on puisse esperer de rencontrer en Angleterre, et qui très-certainement ne s’ètait jamais vue en Italie avant les dernières années etc. (T. I.).
VI. Il est de fait, que quand ce Séminaire a été établi, il ne se trouva pas une dame italienne
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