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coadjuvanti al ben essere de’ padri loro, e non avreste recata seco voi la persuasione, che le madri nostre abbiano a starsene al vostro cospetto colla fronte coperta di rossore.


terza accusa

di evidente mancanza d’istruzione


I. Les Florentins sont considérés comme les moins hospitaliers des Italiens (les Romaines exceptés) et le temoignage de plusieurs familles Anglaises qui ont residé long-temps parmi eux, et qui nous ont assurès qu’elles n’avaient jamais diné dans une maison Florentine, semble donner de la vraisemblance à cette imputation. (Italie T. III. chap. 17. p. 60).

II. Cependant malgré les défauts de leur éducation, et les préjugés qui leur ont étè légués par leurs mères y et qui sont soutenus par un parti intéressé à les conserver, les femmes Florentines, méme celles du premier rang, sont pleines de graces et d’agrèmens: une grande partie de cette repugnance à s’associer avec les dames étrangères, qui leur a fait une reputation anti-sociale, inhospitalière, nait, dit-on, de la défiance d’elles mémes, que leur donne le manque d’instruction etc. (T. III. chap. 17).

III. L’Italie produit plus de femmes savantes