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XXXVIII AI CORTESI

Mus. Borbon. l. c): On voit donc, dice il Raoul-Rochette, à quelle source antique et orientale avait été puisée l’idée primitive représentée sur nos vases étrusques d’argile noire, avec basreliefs, comme sur les vases peints de fabrique égyptienne, et d’après quel modèle en avait été réalisée l’image symbolique sur ces monuments peints et sculptés, appartenant à la plus haute civilisation grecque et étrusque; et l’on a dans cet exemple un des traits le plus frappants de ces antiques rapports, de l’Étrurie et de la Grèce avec l’Orient, qui se fondent sur les traditions historiques, comme ils se justifient par les monuments figurés de deux peuples, et qui, bien étudiés dans leurs principes et dans leur conséquences, ne peuvent manquer d’ouvrir un champ vaste et fécond aux études archéologiques (Journ. des Savans, 1834, mars, p. 148).

Pag. 33, tav. XXIX, n. 2. È assai probabile che la dea fornita di quattro al dorso, due distese in alto e le altre verso terra, con tutulo in capo, che nella destra tiene per simbolo una colomba, sia l’Astarte fenicia riconosciutavi dal dottor Münter (Relig. der Karth.