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PAH I-. ROLANDO Q

rnisoni iiuli((U(5es par ISIM. (Jail el Spmzlieiin, il n’esl jilus possible cl’v tit’coiivrir oiiihn! il’ciilrocroiseinciit eiiire Ics lihres doiil ils ?ont compose’es; ce que je fi-rai Noir mieiix nicnrc par rexpLcalioii (les figures. Les tieux I’aisceaiix pyraniiilaux st’loigiient I’uii de I’ auIre, tandis qii’ils pussenl ciiire la baiule Iransversale anlerieurc et la poslrrieiire j)!Hir parvenir jusqu’aii bord superieur de la protuberance aiinulairc Dans celle-ci les fibres dout ils scut |)comOses se croisent a angle droit avec des fibres transversalcs, qui vont former les pedoncnles moyens du cervelet. Tant les unes que les autres soul separees par tin amas de substance cendrce. Les faisceauv pyramidaux en sorlanl ile la protuberance anludaire divergent encore plus dans I liomme: de manierc qu’ils laissent voir deux cordons qiie je crois apparlenir aux cordons antericurs de la inoelle epinicre et qui vont se pcrdre dans les couches optiqucs. Ccs (.\eu\ cordons, qui occupent I’espace forme par recarlement des jambes des hemispheres, sont beaucoup pins \isibles dans les c(nadrupedes que dans Ihomme, chez qui cct (.space plus etroit est couvert par vm amas de sul)slauce cendree.

Oj’lgine des nerfs de la iroisieme paire.

Tons les Anatomisles elablissent d’accord, que les racines des nerfs de la troisieme paire ou soit des motcurs communs des yen^ sortent des pedoncules des hemispheres. Cependant avec un peu d’altenlion il est facile de s’ajicrccvoir, que dans les quadrupedes, et specialement dans le bocuf, le moulon et le cochon ces nerfs lie tircnt pas leur origine des pedoncules des hemispheres, uiais philol des cordons susdits qui sont ))laccs cntrc ceux-ci. On sait que les racines des nerfs de la Iroisieme paire sous forme de j)inceau s’clendenl assez profondcment ainsi que ^lalacarne (i), ^

(icqi) Jit’vrofnccfulotomi.i fag. iGg. Daltc parcli <:unvci’gcati dcH’ auliu escoiio moKi Clctti

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