d’interesse, e degno di servir d’esempio a chi vuole scriver libri
piacevoli ed utili in questo secolo di frivolezze. Sarebbe desi-
derabile che quel genere fosse molto coltivato.
L’inverno, forse fo male, ma credo che lo passerò qui, non
arrischiandomi ad un viaggio, nemmeno di poche miglia, col-
l’estrema suscettibilità lasciatami dalla malattia: ebbi una feb-
bretta l’altra notte per aver fatta una visita dentro casa alle
padrone.
Mi riverisca la Marchesa, e mi benedica, caro Papà: le bacia
con tutto il cuore la mano
il suo Giacomo.
Il cambio, volendo avere qui 24 francese., porta in Roma
£ 25.26. E molto, ma non si trova per meno, e Giambene, ben-
ché per la posta, mi ha fatto avere anche maggior perdita.
1800. |
Di Louis de Sinner. |
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Paris, rue des Saints Pères, N° 14, le 18 Nov.e [1832] |
Mon cher et excellent ami,
Quel plaisir pour moi que de pouvoir enfin après un long et inte-
ressant voy_age causer un peu avec vous, à qui je n’ai pas écrit, du quel
je n!ai eu aucune nouvelle depuis 3 mois. Je n’ai pas répondu à votre
aimable lettre du 31 Juillet, parceque je comptais le faire d’Allema-
gne, d’autant mieux que je re?us le jour avant mon départ le Torquato
Tasso de Rosini, duquel je vous fais mes sincères remerciements. En
Allemagne je ne vous ai jamais écrit parceque je voulais vous donner
enfin quelques nouvelles sur le sort de vos papiers, ce que je n’aurais
pu faire qu’à mon retour de Berlin, après avoir vu Thilo, Creuzer et
Bothe. Enfin je retardai ma lettre jusqu’à mon retour à Paris où je
suis heureusement rentré enfin le 13 de ce mois.
M. Thilo à Halle auquel je communiquai vos mss. sur les pères de
l’église, les historiens ecclésiastiques et Jules PAfricain en tirerà pour
le commencement le parti suivant. Il publiera dans un journal vos dis-
sertations sur J. l’Afr. et sur Bardesanes1 et donnera une notice de