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Intorno alla distinzione de’ varii autori di nome Erone si consulti l’Introduzione di M. Vincent (ivi pag. 161 e seg.) «Suivant moi (così conclude) il a dû exister, sous le nom d’Héron, et cela dès une époque trèsélévée, une vaste composition qui, servant de texte pour l’ensígnement des écoles, s’est transmise, de siècle en siècle, en subissant des modifications successives, des additions, des mutilations, des interpolations.... Chaque professeur rédigeait à sa maniére et dictait son Héron. Dès lors, que nous trouvions Héron cité dans un ouvrage qui porte son nom, il n’y a rien là d’étonnant: c’est, je le répéte, identiquement ce qui s’est pratiqué à l’égard d’Euclide dans tout le moyen âge, lorsque l’ensígnement de la geométrie appliquée eut fait place, dans les écoles, à celui de la géométrie purement abstraite; et c’est ce qui se pratique encore aujourd’hui. Au lieu de dire Héron le Jeune, il fallait dire le nouvel Héron, comme nous disons le nouveau Baréme» (pag. 163).

M. Vincent in un Supplemento aggiunge un confronto de’ metodi de’ geometri greci co’ procedimenti de’ latini estraendo dal MS. 7377 C (ancien fonds) della Biblioteca Imperiale alcune soluzioni che vi si trovano. E dice: «Celles qui proviennent des folios 30-32 sont absolument anonymes. Quant à celles qui se trouvent aux folios 35-38, il pourrait résulter d’une note que l’on trouve au folio 34 que ces solutions seraient dues à Gerbert. Mais d’une part, cette note est d’une main plus moderne que le manuscrit; et ensuite il n’est pas sûr qu’elle soit applicable aux folios qui suivent le 34» (pag. 416).

Siccome fra questi estratti pubblicati da M. Vincent vi si trova quello che insegna a misurare le altezze per speculum aut per concham plenam aquae, di che ho parlato nella nota 18, accennando trovarsi nella Geometria