Pagina:Ferrero - Meditazioni sull'Italia, 1939.djvu/239: differenze tra le versioni
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Comment ne partagerions-nous pas ces vœux du généreux auteur de «Paris, dernier modèle de l’Oecident?». |
Comment ne partagerions-nous pas ces vœux du généreux auteur de «Paris, dernier modèle de l’Oecident?». |
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{{A destra|{{Sc|Pierre Guéguen.}}}} |
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{{Sc|Franc Nohain}} — ''Echo de Paris, 21 Juillet 1932.'' |
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Mais l’hommage sans doute le plus émouvant que M. Leo Ferrero ait rendu à Paris et à la France est d’avoir écrit son livre directement en français; et d’un style nerveux, alerte coloré, un style qui a une forme et un relief personnels que bien d’écrivains français lui pourraient envier. |
Mais l’hommage sans doute le plus émouvant que M. Leo Ferrero ait rendu à Paris et à la France est d’avoir écrit son livre directement en français; et d’un style nerveux, alerte coloré, un style qui a une forme et un relief personnels que bien d’écrivains français lui pourraient envier. |
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{{A destra|{{Sc|Franc Nohain.}}}} |
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{{Sc|André Maurois}} — ''New York Times, 31 Juillet 1933.'' |
{{Sc|André Maurois}} — ''New York Times, 31 Juillet 1933.'' |