Pagina:Zibaldone di pensieri IV.djvu/379: differenze tra le versioni

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{{ZbPensiero|2671/1}}Parmi plusieurs de ces nations que les Grecs appellent barbares, le jour de la naissance d’un enfant est un jour de deuil pour sa famille ({{Sc|{{AutoreCitato|Erodoto|Herodot}}}}. l. V, c. 4; {{Sc|{{AutoreCitato|Strabone|Strab}}}}. XI, p. 519. ''Anthol.'', p. 16). Assemblée autourde lui, elle le plaint d’avoir reçu le funeste présent de la vie. Ces plaintes effrayantes ne sont que trop conformès aux maximes des sages de la Grèce. Quand on songe, disent ils, à la destinée qui attend l’homme sur la terre, il faudroit arroser de pleurs son berceau: ({{Sc|{{AutoreCitato|Euripide|Eurip}}}}. ''fragm. Ctesiph.'', p. 476; {{Sc|Axioch.}}, ''ap. Plat.'', l. III, p. 368; {{Sc|{{AutoreCitato|Marco Tullio Cicerone|Cicero}}}}, ''Tuscul''., l. I, c. 48, t. II, p. 273). Même ouvrage, ch. 26, t. III, p. 3 (8 febbraio 1823). <section end="1" /><section begin="2" />{{ZbPagina|2672}}
{{ZbPensiero|2671/1}}Parmi plusieurs de ces nations que les Grecs appellent barbares, le jour de la naissance d’un enfant est un jour de deuil pour sa famille ({{Sc|{{AutoreCitato|Erodoto|Herodot}}}}. l. V, c. 4; {{Sc|{{AutoreCitato|Strabone|Strab}}}}. XI, p. 519. ''Anthol.'', p. 16). Assemblée autourde lui, elle le plaint d’avoir reçu le funeste présent de la vie. Ces plaintes effrayantes ne sont que trop conformès aux maximes des sages de la Grèce. Quand on songe, disent ils, à la destinée qui attend l’homme sur la terre, il faudroit arroser de pleurs son berceau: ({{Sc|{{AutoreCitato|Euripide|Eurip}}}}. ''fragm. Ctesiph.'', p. 476; {{Sc|Axioch.}}, ''ap. Plat.'', l. III, p. 368; {{Sc|{{AutoreCitato|Marco Tullio Cicerone|Cicero}}}}, ''Tuscul''., l. I, c. 48, t. II, p. 273). Même ouvrage, ch. 26, t. III, p. 3 (8 febbraio 1823). <section end="1" /><section begin="2" />{{ZbPagina|2672}}