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{{Pt|partenere|appartenere}} che concedono che si tacciano gli abusi ed i pericoli che possono derivare in codesta maniera dell'aggiotaggio<ref>A coloro che in Toscana od altrove rispondono ai nostri avvertimenti col dire: «I capitali delle divisate imprese non sono del paese. Che cosa importa a noi che lo speculatore tedesco, inglese, francese vengano in Toscana ed a Lucca a rovinarsi?... Intanto il popol nostro ha lavoro; le strade anche perdenti resteranno, daran vita maggiore alle nostre contrade, aumenteranno i guadagni individuali, e permetteranno al povero, ora disoccupato, di cumular col lavoro nuove sostanze, le quali non faranno cosi, che mutar di mano»; rispondiamo noi pure colle seguenti autorevoli parole del signor Dunoyer (''De la liberté du travail'', liv. vi, tom. 2, pag. 54). «Et il ne faut pas dire, comme on le dit communément, que toute entreprise, quel qu’en soit l’objet et quel qu’en puisse étre le résultat, est utile au moins en ce sens, qu’elle a le bon effet de procurer du travail aui classes ouvrìères; car les classes ouvrières sont précisément celles ''qui souffrent le plus'' des entreprisés légèrement formées. Si la solidité ou la durèe d’un établissement quelconque importent à toutes les classes, qui y sont attachées, elles importent sur tout à celles qui ont le moins d’avance et qui vivent au jour la journée. Le plus grand tort qu’on puisse faire de pauvres ouvriers, c’est de les attirer dans des entreprises destinées à périr. Mieux vaudrait en quelque sorte pour eux absence de secours que des secours précaires soujets à leur manquer; sur la foi des moyens d’existence que leur présentent les entreprises dans lesquelles on les a témérairement engagés, ils contractent des mariages, ils élevent des troupes d'enfants, et puis quand les catastrophes arrivent, ils se trouvent avec des familles nombreuses, en présence d’établissements dont on a fermé les poórtes, qui n’ont plus ni ouvrage à leur offrir, ni secours à leur donner. — Aussi quoique la déconfìture du maître né leur fasse perdre ordinairement aucune avance, et qu’il n’en résulte pour eux qu’une cessatìon de travail, sont-ils, je le répète, la classe qui souffre le plus de cette sorte de désastre. — Extrémement funeste à son entrepreneur et au capitaliste, ''une entreprise qui tombe est meurtrière pour les ouvriers *».</ref>
{{Pt|partenere|appartenere}} che concedono che si tacciano gli abusi ed i pericoli che possono derivare in codesta maniera dell'aggiotaggio<ref>A coloro che in Toscana od altrove rispondono ai nostri avvertimenti col dire: «I capitali delle divisate imprese non sono del paese. Che cosa importa a noi che lo speculatore tedesco, inglese, francese vengano in Toscana ed a Lucca a rovinarsi?... Intanto il popol nostro ha lavoro; le strade anche perdenti resteranno, daran vita maggiore alle nostre contrade, aumenteranno i guadagni individuali, e permetteranno al povero, ora disoccupato, di cumular col lavoro nuove sostanze, le quali non faranno cosi, che mutar di mano»; rispondiamo noi pure colle seguenti autorevoli parole del signor Dunoyer (''De la liberté du travail'', liv. vi, tom. 2, pag. 54). «Et il ne faut pas dire, comme on le dit communément, que toute entreprise, quel qu’en soit l’objet et quel qu’en puisse étre le résultat, est utile au moins en ce sens, qu’elle a le bon effet de procurer du travail au classes ouvrìères; car les classes ouvrières sont précisément celles ''qui souffrent le plus'' des entreprisés légèrement formées. Si la solidité ou la durèe d’un établissement quelconque importent à toutes les classes, qui y sont attachées, elles importent sur tout à celles qui ont le moins d’avance et qui vivent au jour la journée. Le plus grand tort qu’on puisse faire de pauvres ouvriers, c’est de les attirer dans des entreprises destinées à périr. Mieux vaudrait en quelque sorte pour eux absence de secours que des secours précaires soujets à leur manquer; sur la foi des moyens d’existence que leur présentent les entreprises dans lesquelles on les a témérairement engagés, ils contractent des mariages, ils élevent des troupes d'enfants, et puis quand les catastrophes arrivent, ils se trouvent avec des familles nombreuses, en présence d’établissements dont on a fermé les poórtes, qui n’ont plus ni ouvrage à leur offrir, ni secours à leur donner. — Aussi quoique la déconfìture du maître né leur fasse perdre ordinairement aucune avance, et qu’il n’en résulte pour eux qu’une cessatìon de travail, sont-ils, je le répète, la classe qui souffre le plus de cette sorte de désastre. — Extrémement funeste à son entrepreneur et au capitaliste, ''une entreprise qui tombe est meurtrière pour les ouvriers.</ref> <ref>«Qu’on juge par là de ce qu’il y a de sagesse et de bon sens dans des phrases comme celles-ci, que j’emprunte a une Revue anglaise: ’Tout ce qu’on peut demander aux spéculateurs, c'est que leur passion soit dirigée de manière à ce que les classes laborieuses aieut du travail, car alors, ''quels que sofent les résultats des spéculations, elles ont toujours contribué au bien public». (Article du Quarterly Review'', trad. par la Revue Britannique, tom. I, pag. 12 et 13, première série}.</ref>


Ecco dunque le dottrine della scuola inglese, praticate in Toscana ed a
Ecco dunque le dottrine della scuola inglese, praticate in Toscana ed a

{{smaller|*«Qu’on juge par là de ce qu’il y a de sagesse et de bon sens dans des phrases comme celles-ci, que j’emprunte a une Revue anglaise: ’Tout ce qu’on peut demander aux spéculateurs, c'est que leur passion soit dirigée de manière à ce que les classes laborieuses aieut du travail, car alors, ''quels que sofent les résultats des spéculations, elles ont toujours contribué au bien public». (Article du Quarterly Review'', trad. par la Revue Britannique, tom. I, pag. 12 et 13, première série}.}}_