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Cioè; Spese ordinarie Straordinarie Totale

. ud pagato ...... 0 LE A RL 2,069,421 16 871,883 36 2,441,304 52 del 1850: da pagarsi ....... 0000 Si roi ri rire 27,033 98 26,326 30 53,960 28 (10105 SPOCLERÌ. nici i O SE REIT A 319,307 84 2,069,193 62 2,388,501 46 Lai PEBATO... ieri Laica CE 80,652 57 781,493 68 862,146 25

Sui residui ; 1849 e retro | da pagarsi 0... 1,792 66 80,576 94 32,909 60 CD: BPEOIESÌ., susino i ee DREI 510,418 81 2,490,267 20 3,000,686 01

Totale..... 3,008,567 02

5,769,741 10 8,778,308 12

Les résultats différentiels que fournit la parallèle des dépenses portées au budjet, de celles autorisées postérieurement

et de celles réalisées sont les suivants:

Tabella n° 3.

Differenza tra le spese autorizzate e quelle accertate.

frdinario Straordinarie Totale Spese autorizzate sull’esercizio 1850 ........... LL 2,494,944 82 2,477,722 18 4,972,067» Sui residui 1849 e retro... ice cirie 596,852 23 3,50 7,717 18 4,154,569 41 Totale..... 3,091,197 05 6,035,439 36 9,126,696 41 Spese accertate: viisicniviozieario;ininiane eri eni +. 8,008,567 02 5,769,741 10 8,778,308 12 Economia per speso in meno... ....... rei 82,630 03 265,698 26 348,323 29

Differenza tra le spese bilanciate e quelle accertate.

Bilancio 1850 ciscanioni ren ia RANA ARIA Sii 2,959,295 52 2,356,215 59 4,715,511 11 Residui 1849 e retro... 00 er rei IRE IE 552,504 34 3,502,218 07 4,054,722 41 Totale,.... 2,911,799 86 5,858,433 66 8,770,233 52

SPeso COME SOPpra LL... 000000 rrrrriiireerireeeieiie 8,008,567 02 B,769,741 10 8,778,308 12 Speso + în piú 96,767 16 in meno 88,692 56 in piú 8,074 60

Differenza tra le spese autorizzate e quelle bilanciate.

Spese autorizzate LL... iimiane 3,091,197 05 6,035,439 36 9,126,636 41 Spese bilanciate LL... 000 +. 2,911,799 86 5,858,493 66 8,770,233 52 Aggiunte durante l’esercizio...............4 Aegaha tag ioni 179,997 19 177,005 70 356,402 89

L’exactitude mathématique du compte est amplement jus- tifife par l’identité parfaite que l’analyse et la combinaison des chiffres partiels, suivant leurs divers rapports, ont pré-

senté dans leurs résultats. La Cowwlssion n’a pas été è un moindre degrè convaincue

de son exactitade et de la régularité sous le rapport moral

lequel est, sinon exclusivement, au moins essentiellement |

dans les attribulions de la Chambre.

Si l’on considère, en effet, qu’aux prévisions du budjet ac- erues des résidus et relevant á francs 8,770,233 b2, il n°a été durant Pexercice ajouté pour dépenses majeures ou impré- vues qu’une somme de francs 356,402 89; que pour parer aux inconvénients que celte augmentation pouvait apporter á nos finances dans la condition défavorable oú eiles se trou- vaient déjá, il a été ménagé dans le total de la dépense une économie á peu de chose près eorrespondante, tellement que le total de la dépense ne dépasse que de francs 8074 60 la somme allouée au budjet, malgré le chiffre ci-dessus rap- porté des cépenses majeures cu imprévues dont la nécessité s’est vérifiée durantl’exercice, on demeure persuadé que l’ad- ministratien a fait tout ce que l’on pouvait eu attendre pour

rester dans les limites du budjet, l’excédant dans lequel elle est tombée ne relevant pas mèéme á 1 pour cent.

Les dépenses majeures cu nouvelles qui ont été autorisées durant l’exercice, et dont je ne vous répéterai pas ici le dé- tail, puisqu’il se trouve au complet dans Ie rapport qui est annexd au compte, se répartissent d’une manière á peu près égale entre les allocations au budjet de l’exercice et les ré. sidus des budjets antérieurs, entre les dépenses ordinaires et les extraordinaires; elles sont justifiées et par la nature des ‘’ travaux qu’elles réfléchissent et par les rapports des ingé- nieurs chargés des services.

Les économies obtenues sur les sommes autorisées tombent pour la majeure partie sur les dépenses extraordinaires, et parliculièrement sur celles des résidus; elles proviennent de l’inexgcution de travaux dontl’urgence cu la nécessité n’était pas suffisamment établie, ou pour lesquelles les allocations faites ne constituaient que des fonds préparatoires ; l’élimi- nation de ces travaux ne peut pas étre l’objet d’observations critiques, puis qu’elle est conforme au voeu maintes fois exprimé par la Chambre.

Les autorisations des dépenses majeures ou nouvelles,