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sur cette còte. Le poème commence par un monologue de l’anglais, qui observe avec surprise les transports violents du parganiote: celui-ci finit par se précipiter, de désespoir, dans la mer; l’anglais accourt et lui sauve la vie. — Cela donné, le pian et la marche du poème me paraissent si simples et si faciles á saisir, qu’en cherchant á les expliquer d’avance je craindrais de faire injure au lecteur; et je désire trop son indulgence pour courir volontairement un risque de plus de ne pa? l’obtenir.